Tu as le droit d’être une wonderwoman et de pleurer

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– Une musique qui fait monter les larmes aux yeux, la beauté des paysages qui transperce, un lieu ou une certaine ambiance qui donnent la chair de poule…
Autant de situations qui sont ressenties avec une intensité incroyable parfois même terrifiante
lorsqu’on est sensible, voir hypersensible
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Ma cliente de ce matin, véritable wonderwoman du quotidien,
Gérant d’une main de mon de maitre son travail, sa maison, ses enfants
me révélait qu’intérieurement elle était épuisée de dissimuler sa sensibilité,
cette part d’elle qui
  • lui fait ressentir ces tourbillons émotionnels
  • la fait se cacher pour pleurer
  • l’oblige à prendre sur elle pour ne pas être en mode « éponge »
Car pour elle, cette sensibilité la rend faible, vulnérable…
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–  L’anticipation, l’organisation, les il faut/je dois, les to-do listes, le « faire » et la charge mentale
deviennent alors le rempart
pour que plus rien ne perturbe, ne déborde et que tout reste sous contrôle et bien enfoui…
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Sauf, que si c’est rassurant et que ça fonctionne un temps,
au bout d’ un moment ça devient étouffant et épuisant
car ce décalage, ce rejet d’une partie de soi draine énormément d’énergie…
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Est-ce que tu te sens prête à accueillir ta sensibilité pour en faire une force?